Ode à la lune
Je dormais dans la noirceur
Autrefois grande, maintenant embrasée
Parfumée de ta lueur,
Tu mets le ciel à ma portée
Tu m’éclaires, me guides et me chantes
Des airs qui crépitent dans les alentours,
Comme des lucioles scintillantes
Éloignant les cauchemars, les vautours
J’ai l’âme qui s’évapore
Qui vient se déposer,
Deux pattes sur son perchoir
Sur un éclat de ciel luciolé
Et si chacun de ces éclats
Sont synonymes de la mort,
Mon cœur 24 carats
Ne vaut pas plus qu’un lingot d’or
De ta forge, tu as soufflé
Rallumé ma braise, ravivé mon espoir
Transformé mon vieux lingot usé
En comète, illuminant le soir
Alors j’ai troqué ma lampe de nuit,
Par ta joie, par ta bonté
Ceux-ci ont fait en sorte que je vis,
Cette feuille blanche mal éclairée
C’est alors pourquoi je dédie,
Ce poème comme un long baiser
À toi, ma plus grande amie
Je te donne cette parcelle d’éternité
À toi,
Ode à la lune
Esprit de la poésie
J’ai vu naître une plume,
Dans une spirale de vagues
Où l’âme dérive, yeux fermés
Dans le néant de ses sens
J’ai vu naître une plume,
Dans un feu de forêt
Où l’âme devient cendres
Avant d’éclore au printemps
J’ai vu naître une plume,
Dans la sagesse d’un arbre
Où l’âme se repentit
Ancrée à ses racines
J’ai vu naître une plume,
Dans l’air libre du vent
Où l’âme s’éclate
Comme un esprit de tornade
J’ai vu naître…
Albatros
Phoénix
Hiboux
Colombes
J’ai permis le vol
Aux paroles des nuages,
Aux âmes des bûcherons
Et aux oiseaux lunaires
J’ai été le son d’un canon
Paroles tirées de ma bouche
J’ai été un symbole,
Une poussière d’Étoile
Et l’ennemi de l’Ombre
J’ai fait sorte que,
Des mains deviennent frissons éternels
Des âmes de mer désirent la terre
Et des âmes de terre désirent la mer
J’ai fait de l’amour,
Une beauté intemporelle,
Le foyer du corps
Et sous cette étincelle,
J’ai vu naître une âme
Dans une feuille de neige
Je me suis développé
Dans la fumée d’opium
Et de lampes, et de tabac
J’ai parcouru les champs,
Les volcans, les tempêtes
En France…
J’ai croisé Baudelaire,
Hugo et Brassens,
Êtres de lumière
Au Québec…
Leclerc, Miron,
Garneau, Godin
Esprits de neige
Tous chargés d’un poid
Léger, libre et fier
Tous chargés d’êtres,
D’êtres de lumière
Et tous chargés d’être,
D’être la lumière
J’ai habité des esprits
Et des mains, des âmes
Et des révolutions
Maintenant…
Je t’habite
Je t’observe
J’entends tes joies
Je ressens tes peines
Dans le ciel luciolé,
Posé sur la lune
Je te guide…
Moi,
L’esprit de la poésie
À la dérive
Perdu dans l’océan de tes yeux
Voguant sans effort vers l’infini
Le vent de ta bouche caresse
Mes coquillages comme la voix d’une sirène
Prisonnier des flots
Me berçant dans le triangle des Bermudes
C’est avec l’esprit d’un ouragan
Que je m’enfonce dans l’amour
Perdu grâce à ma bonne étoile
Peur que le braisier se rallume
Car l’usage de ma plume
Ne fera que cendres de mon drapeau blanc
Je dormais dans la noirceur
Autrefois grande, maintenant embrasée
Parfumée de ta lueur,
Tu mets le ciel à ma portée
Tu m’éclaires, me guides et me chantes
Des airs qui crépitent dans les alentours,
Comme des lucioles scintillantes
Éloignant les cauchemars, les vautours
J’ai l’âme qui s’évapore
Qui vient se déposer,
Deux pattes sur son perchoir
Sur un éclat de ciel luciolé
Et si chacun de ces éclats
Sont synonymes de la mort,
Mon cœur 24 carats
Ne vaut pas plus qu’un lingot d’or
De ta forge, tu as soufflé
Rallumé ma braise, ravivé mon espoir
Transformé mon vieux lingot usé
En comète, illuminant le soir
Alors j’ai troqué ma lampe de nuit,
Par ta joie, par ta bonté
Ceux-ci ont fait en sorte que je vis,
Cette feuille blanche mal éclairée
C’est alors pourquoi je dédie,
Ce poème comme un long baiser
À toi, ma plus grande amie
Je te donne cette parcelle d’éternité
À toi,
Ode à la lune
Esprit de la poésie
J’ai vu naître une plume,
Dans une spirale de vagues
Où l’âme dérive, yeux fermés
Dans le néant de ses sens
J’ai vu naître une plume,
Dans un feu de forêt
Où l’âme devient cendres
Avant d’éclore au printemps
J’ai vu naître une plume,
Dans la sagesse d’un arbre
Où l’âme se repentit
Ancrée à ses racines
J’ai vu naître une plume,
Dans l’air libre du vent
Où l’âme s’éclate
Comme un esprit de tornade
J’ai vu naître…
Albatros
Phoénix
Hiboux
Colombes
J’ai permis le vol
Aux paroles des nuages,
Aux âmes des bûcherons
Et aux oiseaux lunaires
J’ai été le son d’un canon
Paroles tirées de ma bouche
J’ai été un symbole,
Une poussière d’Étoile
Et l’ennemi de l’Ombre
J’ai fait sorte que,
Des mains deviennent frissons éternels
Des âmes de mer désirent la terre
Et des âmes de terre désirent la mer
J’ai fait de l’amour,
Une beauté intemporelle,
Le foyer du corps
Et sous cette étincelle,
J’ai vu naître une âme
Dans une feuille de neige
Je me suis développé
Dans la fumée d’opium
Et de lampes, et de tabac
J’ai parcouru les champs,
Les volcans, les tempêtes
En France…
J’ai croisé Baudelaire,
Hugo et Brassens,
Êtres de lumière
Au Québec…
Leclerc, Miron,
Garneau, Godin
Esprits de neige
Tous chargés d’un poid
Léger, libre et fier
Tous chargés d’êtres,
D’êtres de lumière
Et tous chargés d’être,
D’être la lumière
J’ai habité des esprits
Et des mains, des âmes
Et des révolutions
Maintenant…
Je t’habite
Je t’observe
J’entends tes joies
Je ressens tes peines
Dans le ciel luciolé,
Posé sur la lune
Je te guide…
Moi,
L’esprit de la poésie
À la dérive
Perdu dans l’océan de tes yeux
Voguant sans effort vers l’infini
Le vent de ta bouche caresse
Mes coquillages comme la voix d’une sirène
Prisonnier des flots
Me berçant dans le triangle des Bermudes
C’est avec l’esprit d’un ouragan
Que je m’enfonce dans l’amour
Perdu grâce à ma bonne étoile
Peur que le braisier se rallume
Car l’usage de ma plume
Ne fera que cendres de mon drapeau blanc